Isabelle Rizzo :  » Faire grandir l’enfant en humanité »

Témoignage – pour le bicentenaire de la famille salésienne, Isabelle Rizzo raconte son engagement en tant que professeur dans un établissement qui fait perdurer l’approche pédagogique de Don Bosco. Interview par Sophie Lebrun.
Plongée dans la pédagogie salésienne, cette animatrice en pastorale scolaire découvre chaque jour comment le regard bienveillant d’un adulte sur un enfant peut changer sa vie.

Mon premier jour de classe, je suis arrivée à l’établissement scolaire Sévigné de Marseille un peu tremblante. Je n’avais jamais enseigné, je ne connaissais pas la pédagogie salésienne, je n’avais dans mon cartable qu’une trousse et un cahier vierge… mais la certitude que Dieu était avec moi. Ma première leçon a été de faire confiance au directeur qui m’avait appelé à le rejoindre. Très vite, je me suis sentie chez moi auprès de ces enfants des quartiers nord de la ville. Certains sont issus de familles ouvrières, comme moi. La mixité sociale est très présente dans l’école. Ces jeunes sont chrétiens ou musulmans, mais la plupart ont encore tout à apprendre dans le domaine de l’histoire des religions.
Lire l’article sur La Vie.

Le mauvais coup de l’été : l’Etat évacue la ferme des Bouillons et la cède à des proches du groupe Auchan

Alors que la ZAD de la ferme des Bouillons près de Rouen a été évacuée hier, Julie Lallouet Geffroy, membre du collectif, co-signe avec Hervé Kempf un article sur le sujet dans le quotidien de l’écologie. Elle vous dit tout sur l’entourloupe étatique de l’été, à quelques jours de la COP 21.

 

Reporterre a tiré le rideau pour ce mois d’août. Mais parce que nous ne voulions pas rédiger à la rentrée un article intitulé « Ce que vous avez raté pendant l’été : une occupation évacuée, il est maintenant trop tard », nous ré-ouvrons nos colonnes. Mercredi 19 août, la ferme des Bouillons, lieu agricole alternatif près de Rouen, a été évacuée par les CRS.

Tout allait pourtant pour le mieux à la ferme des Bouillons entre un stage de construction d’éoliennes, le passage d’Alternatiba et le marché maraîcher hebdomadaire ; mais la période estivale est propice aux entourloupes étatiques.

C’est ce qu’a vécu la ferme occupée, située à Mont-Saint-Aignan, en périphérie de Rouen. Une entourloupe bien ficelée qui a abouti, mercredi matin 19 août, à l’évacuation par les CRS de la trentaine de personnes qui occupaient depuis plus de deux ans et demi la ferme pour la sauver d’un projet immobilier du groupe Auchan.
Lire l’article sur Reporterre.

Les nouvelles héroïnes de l’Afrique

Retrouvez le reportage photo de Xavier Bourgois publié dans le dernier numéro du Point.
les nouvelles héroïnes de l'Afrique

On the trail of Africa’s biggest international bike race

La Tropicale

Retrouvez la Tropicale sur le site du Guardian, avec les photos de Gautier Demouveaux également en galerie sur le site du Rouleur.

 

The sun beats down on the town of Ndondjé while La Tropicale’s official Afrobeat song blasts on a loop from the PA. Dancers move in unison to the groove as cyclist Yauheni Hutarovich applauds their efforts from the podium.

On a road nearby, there’s chaos. The fourth stage of Africa’s largest international bike race – named after former president Omar Bongo’s late daughter, Amissa Bongo – is running late. The 500-person transfer across Gabon in planes, trains and automobiles the previous day was delayed, and the South Africa team manager is screaming at his Cameroonian peer: “Turn around, you’re holding everyone up!”

The race starts an hour late but nobody bats an eyelid. It’s just another day at La Tropicale, the 600 mile (970km) stage race through the small west African country of Gabon.

Cofidis donne aussi du crédit au handicap

À découvrir dans l’Edition du Soir du 4 février, le reportage de Gautier Demouveaux sur la section handisport de l’équipe cycliste Cofidis.

 

L’équipe Cofidis n’est pas parvenue à remporter la première étape de l’Étoiles de Bessèges. C’est le belge Kris Boeckmans (Lotto) qui s’est imposé. La formation nordiste, qui s’est attachée les services du sprinteur Nacer Bouhanni, a d’autres objectifs. Ce qui ne l’empêche pas de rester fidêle à sa marque de fabrique. Depuis 1977, Cofidis est la seule équipe pro française à posséder une section handisport. Coup de projecteur sur une démarche atypique.

 

 Lire l’article dans L’Édition du Soir de Ouest France.

 

équipe Cofidis

À l’école des chiens d’avalanche

Alors que la neige recouvre les massifs français, retrouvez le reportage de Gautier Demouveaux, membre du collectif, sur la formation des chiens d’avalanche, dans l’Edition du Soir de Ouest France.

 

Vingt personnes sont mortes en France dans les avalanches depuyis le début de l’année. Parmi les premiers sauveteurs, les équipes cynophiles des pelotons de gendarmerie haute montagne.

Maîtres et chiens sont formés à Montgenêvre, dans les Hautes Alpes. Rencontre avec Frédéric, Hanky, Francis, Éole, Gilles, Inouk…

 

Lire l’article dans L’Édition du Soir de Ouest France.

Cinq questions, cinq réponses, pour comprendre les zones humides

Zones humides, kezako? La réponse à lire sur Reporterre, par Julie Lallouet Geffroy – membre du collectif !

 

Le 2 février est la journée mondiale des zones humide. Mais qu’est-ce au juste qu’une zone humide ? Pourquoi défendre une zone marécageuse pleine de moustiques ? Cinq réponses pour comprendre.

– A quoi une zone humide ressemble-t-elle ?

Il s’agit d’un endroit boueux, marécageux où l’eau est reine et stagnante. Elle est la caractéristique principale du lieu. La faune et la flore y sont particulièrement développées et variées. Difficile d’être plus précis car il n’existe pas de définition claire.

Certaines zones sont facilement identifiables, comme les marais, l’eau stagnante est visible, la présence de roseaux ou de joncs est un bon indicateur. Mais parfois, c’est plus subtil, moins évident ; en fonction des saisons par exemple. La carte des zones humides, commandée par le ministère de l’Écologie, montre bien ce flou, elle parle de « milieux potentiellement humides ».

En 1971, la convention Ramsar tente de poser une définition large pour faire consensus : « Etendues de marais, de fagne, de tourbières ou d’eaux naturelles ou artificielles, permanentes ou temporaires, où l’eau est stagnante ou courante, douce, saumâtre ou salée, y compris des étendues d’eau marine dont la profondeur à marée basse n’excède pas six mètres. »

168 pays ont ratifié cette convention, répertoriant plus de 2 000 sites d’importance internationale. La France en compte 43, répartis sur 1,8 hectares soit 3 % du territoire.

La Journée mondiale des zones humides a lieu le 2 février, date anniversaire de la signature de cette convention.

 

A lire sur Reporterre.

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