Scandale Triskalia : des salariés intoxiqués aux pesticides

Le scandale Triskalia en centre Bretagne. La première coopérative bretonne condamnée pour avoir exposé plusieurs de ses salariés aux pesticides.

Un reportage en deux épisodes réalisé à six mains, par Julie Lallouët-Geffroy, Inès Léraud et Vincent Feuray à la photo, publié dans Reporterre.

 

Episode 1, à lire en totalité sur Reporterre.

 

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Episode 2 : à lire en totalité sur Reporterre.

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Bangladesh, quand le dérèglement climatique creuse les inégalités

Bangladesh, quand le climat creuse les inégalités, un reportage multimédia de Julie Lallouët-Geffroy sur AlterEcoPlus.

Le Bangladesh est un des pays les plus pauvres au monde, mais aussi un des plus exposés au dérèglement climatique. Ceci n’a rien d’une coïncidence. La pauvreté limite considérablement les investissements qu’il faudrait faire dans les infrastructures d’adaptation ; le climat fragilise d’autant plus la population, en termes sanitaire, économique et social. Ce qui tend à renforcer les inégalités.

Voir le reportage sur Alterecoplus.

Ceux qui préfèrent l’âne au tracteur

En Bretagne, c’était le salon Ille-et-bio le week-end dernier à Guichen, traction animale au programme.
Certains agriculteurs troquent le tracteur contre l’âne. Pourtant c’est têtu, non? Et un tracteur, c’est bien plus efficace et rapide, non? Alors pourquoi préfèrent-ils travailler avec un âne, ou un cheval?
La réponse sur Canal B, un reportage réalisé en Normandie, il y a un an, à la ferme des Bouillons. Une ferme qui a été occupée pendant près de trois ans contre un projet de supermarché. Elle a été évacuée cet été.
C’est signé Julie Lallouët-Geffroy

Le mauvais coup de l’été : l’Etat évacue la ferme des Bouillons et la cède à des proches du groupe Auchan

Alors que la ZAD de la ferme des Bouillons près de Rouen a été évacuée hier, Julie Lallouet Geffroy, membre du collectif, co-signe avec Hervé Kempf un article sur le sujet dans le quotidien de l’écologie. Elle vous dit tout sur l’entourloupe étatique de l’été, à quelques jours de la COP 21.

 

Reporterre a tiré le rideau pour ce mois d’août. Mais parce que nous ne voulions pas rédiger à la rentrée un article intitulé « Ce que vous avez raté pendant l’été : une occupation évacuée, il est maintenant trop tard », nous ré-ouvrons nos colonnes. Mercredi 19 août, la ferme des Bouillons, lieu agricole alternatif près de Rouen, a été évacuée par les CRS.

Tout allait pourtant pour le mieux à la ferme des Bouillons entre un stage de construction d’éoliennes, le passage d’Alternatiba et le marché maraîcher hebdomadaire ; mais la période estivale est propice aux entourloupes étatiques.

C’est ce qu’a vécu la ferme occupée, située à Mont-Saint-Aignan, en périphérie de Rouen. Une entourloupe bien ficelée qui a abouti, mercredi matin 19 août, à l’évacuation par les CRS de la trentaine de personnes qui occupaient depuis plus de deux ans et demi la ferme pour la sauver d’un projet immobilier du groupe Auchan.
Lire l’article sur Reporterre.

Cinq questions, cinq réponses, pour comprendre les zones humides

Zones humides, kezako? La réponse à lire sur Reporterre, par Julie Lallouet Geffroy – membre du collectif !

 

Le 2 février est la journée mondiale des zones humide. Mais qu’est-ce au juste qu’une zone humide ? Pourquoi défendre une zone marécageuse pleine de moustiques ? Cinq réponses pour comprendre.

– A quoi une zone humide ressemble-t-elle ?

Il s’agit d’un endroit boueux, marécageux où l’eau est reine et stagnante. Elle est la caractéristique principale du lieu. La faune et la flore y sont particulièrement développées et variées. Difficile d’être plus précis car il n’existe pas de définition claire.

Certaines zones sont facilement identifiables, comme les marais, l’eau stagnante est visible, la présence de roseaux ou de joncs est un bon indicateur. Mais parfois, c’est plus subtil, moins évident ; en fonction des saisons par exemple. La carte des zones humides, commandée par le ministère de l’Écologie, montre bien ce flou, elle parle de « milieux potentiellement humides ».

En 1971, la convention Ramsar tente de poser une définition large pour faire consensus : « Etendues de marais, de fagne, de tourbières ou d’eaux naturelles ou artificielles, permanentes ou temporaires, où l’eau est stagnante ou courante, douce, saumâtre ou salée, y compris des étendues d’eau marine dont la profondeur à marée basse n’excède pas six mètres. »

168 pays ont ratifié cette convention, répertoriant plus de 2 000 sites d’importance internationale. La France en compte 43, répartis sur 1,8 hectares soit 3 % du territoire.

La Journée mondiale des zones humides a lieu le 2 février, date anniversaire de la signature de cette convention.

 

A lire sur Reporterre.